
Une recette de sorbet acidulé et fruité pour faire honneur aux agrumes d’hiver
Une recette de smoothie banane kiwi ultra simple, prétexte à vous parler de réduction des déchets.
Je ne suis vraiment pas fan de plastique pour préparer les repas, conserver les aliments ou les déguster sur le pouce, a fortiori quand il s’agit d’objets à usage unique comme les couverts en plastique. Une telle absurdité quand on y pense. Continuer la lecture
Le cobbler est dessert simple et déclinable à l’envi avec les fruits d’été et du début de l’automne, comme cette version aux quetsches.
Il y a deux jours, alors que je mettais la dernière main à cette recette de cobbler, l’été semblait ne pas devoir finir. Je prenais sans doute un peu mes rêves pour la réalité puisque depuis quelques jours la fraîcheur des derniers matins ne laisse plus vraiment planer le doute : l’automne est bel et bien arrivé ! Continuer la lecture
Des biscuits tout simples et croquants à base de semoule de blé et de zeste de citron en 2 versions : l’une avec du beurre pour un goût inimitable et l’autre avec de l’huile de coco pour une version sans lait.
Depuis que j’ai redécouvert les petits gâteaux à la polenta et à l’orange, je ne me lasse pas d’en faire et de tester des variantes de la recette comme cette version « tout gluten » avec farine et semoule de blé. J’ai aussi remplacé le zeste d’orange par un zeste de citron : c’était très bon.
En même temps, un zeste de citron c’est le coup de peps assuré. J’en mets toujours une touche dans l’houmous, dans le taboulé, dans la sauce de la salade César… Partout où l’on met du jus de citron en fait, le zeste vient renforcer la fraîcheur acidulée du fruit. Continuer la lecture
Un peu de douceur dans un monde de brutes avec ces biscuits croquants parfumés à l’orange d’après une recette de Jamie Oliver. Une délicieuse façon d’utiliser les zestes d’orange.
Il y a 15 ans tout juste, j’étudiais le droit dans la glorieuse cité d’Edimbourg. Cette année-là, j’ai découvert :
Bref une année très enrichissante (moralement s’entend car travailler dans une pizzeria et un fish & chips ne fut pas des plus rémunérateurs). Continuer la lecture
La charlotka est un gâteau russe très riche en pommes. Je l’ai découvert en cherchant des idées de recettes pour un dîner à thème russe.
Au retour de vacances en Russie, il y a deux ans nous avions invité quelques amis à partager un repas russe : bortsch, blinis, pelmenis, salade russe. Pour le dessert, mes essais de pirojki sucrés n’ayant pas été très concluants, j’ai opté pour une charlotka. Nous n’en avions pas goûté sur place mais Continuer la lecture
Une recette pour limiter les déchets en cuisine qui ne demande (presque) pas de travail et d’énergie supplémentaire !
Chaque fois que je fais un gâteau, une tarte ou de la compote de pommes, je me dis que c’est moche de gâcher toutes ces épluchures et comme la saison des desserts aux pommes bat son plein – j’ai bien envie de faire ce cheesecake aux pommes bientôt – j’ai testé les chips de pelures de pommes.
Attention, laisser un bol de chips sans surveillance, c’est risquer de le retrouver vide quelques minutes plus tard… Il faut dire que l’association beurre-sel-sucre rappelle le caramel au beurre salé qui se marie à merveille avec les pommes. Continuer la lecture
Que faire si ta mamie / tonton / voisin / copine (rayez les mentions inutiles) te donne 5 ou 10 kg de pommes de son verger ? Après les tartes, les strudels ou les gâteaux aux pommes tu peux les transformer en compote à stériliser pour les conserver.
Loin de moi l’idée d’encourager les citadins à acheter des pommes pour faire des conserves de compote maison. A 4€ le kilo de pommes bio sur le marché à Paris, ce serait d’ailleurs un peu aberrant économiquement car on trouve des compotes toutes faites au même prix au kilo. En revanche si te retrouves avec quantité de pommes qui risquent de se gâter sur les bras, lance-toi !

Je dois avouer que j’ai longtemps acheté des tas de petits pots de compote pour bébé. Tellement pratique pour les desserts des enfants au quotidien… Mais tellement loin du zéro déchet : petit pot en plastique non recyclé (comme les pots de yaourt), couvercle en métal (non recyclé) et le carton (recyclé, lui) qui maintient 4 pots solidaires VS le joint caoutchouc uniquement avec les bocaux maison.
Si on utilise des pommes qui ont du goût, la compote est délicieuse. Mes préférées sont la Reine des reinettes et la Reinette du Canada, car elles sont à la fois bien sucrée et acide et leur chair est dense.

Pour cette recette, j’utilise des terrines en verre à monture métallique et joint caoutchouc de 350 ml. On peut les acheter en ligne, en magasin (supermarchés, certaines droguerie, les boutiques zero-déchet. On peut aussi faire ses « courses » dans les placards des anciens. La plupart de mes bocaux me viennent de chez ma grand-mère. Les bocaux vintage font toujours le job à condition qu’ils ferment correctement et d’utiliser des joints neufs, évidemment et de leur éviter les chox thermiques trop violents. Comme ils sont en verre très épais, ils supportent moins bien les changements de température brutaux (non ce n’est pas qu’ils sont moins solides).
Attention, la recette est prévue pour des bocaux de 350 ml et le temps de stérilisation est adapté à cette contenance. Pour des bocaux plus grands il faudra augmenter la durée de stérilisation (1h pour des bocaux de 50 cl – 1h15 pour des bocaux d’1 litre)
On peut aussi utiliser des bocaux Weck de contenance équivalente, mais il faut respecter des consignes spécifiques au type de fermeture (2 clips au maximum, ne pas faire bouillir le joint qui est prêt à l’emploi).
N.B. : la stérilisation dans les bocaux à vis est possible mais il faut utiliser des couvercles adaptées pour cela, des couvercles de bocaux à vis stérilisables. Comme les joints pour les bocaux à fermeture métallique, on ne les utilise qu’une fois pour la stérilisation. Il ne faut laisser 2 cm an haut du pot au minimum.
On en trouvent désormais à ouverture facile avec deux languettes qui se séparent facilement ou bien pour les modèles classiques, on peut utiliser un tire-rondelle si on n’arrive pas à les ouvrir à la main.
Pour procéder à la stérilisation, il te faudra un grand faitout ou un stérilisateur, peu importe pourvu que les bocaux, soient calés et recouverts d’eau (2-3 cm au minimum).
Pour que les bocaux ne s’entrechoquent pas pendant la cuisson, je te conseille de mettre un vieux torchon, parfaitement propre – vieux car il risque de s’abîmer en chauffant. Les stérilisateurs sont équipés d’un dispositif qui vite aux bocaux de choquer au fond du récipient.
Cela permet de remplir les pots rapidement tant que la compote est encore chaude (c’est important pour la stérilisation), et cela permet d’éviter de salir le col des bocaux.
J’utilise un entonnoir à confiture en inox de la marque WMF et j’en suis vraiment très satisfaite. Il s’adapte à la plupart des pots de confiture, même ceux dont l’ouverture est un peu plus petite.
Je m’en sers tous les jours : pour transférer les restes de nos repas dans des bocaux pour les mettre au frigo ou bien pour transférer les ingrédients achetés en vrac dans leur bocal de stockage. Un must à avoir dans sa cuisine quand on fait des conserves ou qu’on pratique le zéro-déchet.
Pour être sûr de ne pas se tromper sur le temps de stérilisation et si on a un thermomètre pour vérifier la température de l’eau. Sinon il faut se fier à l’ébullition : gros bouillons = 100°C.
On commence par la préparation du matériel
Nettoyage des bocaux. Les bocaux doivent être parfaitement nettoyés et rincés avant de commencer. Pour les bocaux de seconde main que j’utilise pour la première fois, je préfère faire une stérilisation préalable des bocaux (soit dans l’eau bouillante pendant 10 minutes ou au four à 140°c pendant 10 minutes). Au bout des 10 minutes on les sort et on les égoutte. Cette étape n’est pas nécessaire pour des bocaux neufs, ou utilisés régulièrement et bien nettoyés.
Préparation des joints. Les joints doivent être nettoyés et généralement passé dans l’eau bouillante (vérifier les indications sur le paquet de joint).
Préparation du stérilisateur ou du faitout. On place le torchon et on commence à chauffer l’eau.
Tout doit être prêt à l’avance car il faut mettre la compote encore chaude et lancer la stérilisation dès la fin de la cuisson.
Ensuite c’est la préparation & la cuisson des pommes et le mixage et on passe rapidement au remplissage.
Enfin la stérilisation. La stérilisation débute quand l’eau atteint 100°C, donc bout à gros bouillon. On utilise un couvercle pour éviter que top d’eau ne s’évapore pendant la stérilisation. Si tu n’as pas de thermomètre, vérifie que l’eau bout bien à gros bouillon pendant toute la durée de la stérilisation.
Après la stérilisation, retire rapidement les bocaux de l’eau et laisse-les refroidir. Une pince à bocaux peut être bien utile à ce moment-là pour éviter de te brûler.
Tu peux utiliser les épluchures et les trognons pour faire de la gelée de pomme ou encore des chips sucrées d’épluchures de pommes.
Et s’il te reste encore quelques pommes, je te conseille de préparer ce gâteau fondant très riche en pommes.
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Une recette simple pour transformer et conserver un surplus de pommes et s’en régaler jusqu’à la prochaine récolte






Je suis à peine sortie de mon hibernation et qu’apprends-je : ce serait déjà Pâques et son avalanche de chocolat ?
Une fois n’est pas coutume, je saute mon tour pour le chocolat mais je vous propose une recette classique très riche en œufs : les œufs à la neige. Depuis que l’ai vue là, je n’arrête pas d’y penser. Je me suis dit qu’il était temps de renouer avec ce classique des déjeuners du dimanche chez ma grand-mère – si, si, je vous assure après le gigot, ça passe tout seul ! Continuer la lecture
Pendant les dernières vacances scolaires, nous avons passé quelques jours en Normandie et nous en avons profité pour faire des galettes au sarrasin garnies de pommes poêlées, d’andouille de Vire et d’un peu de crème. Pour être parfaitement honnête, je me suis contentée d’éplucher les pommes et de déguster les galettes.